Cet été on ne part pas vraiment en vacances ! BanjoGuyOllie vous emmène avec lui dans ses bagages pour vous faire vivre LaCazRetro de l’intérieur !
Et voici le 6ème (deja!!) episode de ces bonus stages ou Ollie s’assoit avec un des chroniqueurs de la Caz Retro pour une discussion a la cool . Cette semaine c’est Gerfaut qui passe à la moulinette pour discuter de son parcours dans l’équipe, son aversion legendaire pour les joypads, la SF , le cyberpunk, le présent et l’avenir du jeu vidéo, les fleurs , les abeilles et tout le reste …
Bonne Écoute à tous !
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AVEC
Ahh… fresh meat!
Curieux, j’ai trouvé Gerfaut plus nerveux sur ce podcast qu’à l’époque de celui sur Baldur’s Gate où il était effectivement très à l’aise : sans doute le fait de se retrouver en première ligne y est-il pour quelque chose 😉
Je partage le syndrome « vieux con » avant l’heure d’Ollie : moi aussi, je trouvais que des trucs comme Micro Kids ou Game One (exception faite de quelques rares émissions dont l’inévitable Mémoire Vive) avaient plus tendance à me gâcher le plaisir qu’autre chose en passant à la moulinette du grand public « mes » précieux jeux vidéos.
Je compte bien faire Majora’s Mask un de ces jours, vu tout le bien qu’on en dit ici et ailleurs, mais j’avoue avoir calé sur Ocarina of Time qui m’avait énormément déçu. Faudrait quand même que je lui redonne sa chance à celui-là.
Dune, j’ai peiné pour finir le cycle originel, alors me taper les bouquins du fiston Herbert, non merci ^^ D’une manière générale je ne suis pas trop fan de SF pure et dure (Arthur C. Clarke mis à part) et préfère la SF poétique d’un Ray Bradbury. Pour Philippe K Dick, j’aime surtout ses nouvelles dont certaines lorgnaient plus vers le fantastique pur que la SF : il a d’ailleurs été publié à ce titre dans l’ancienne revue Alfred Hitchock magazine.
Un podcast sympa, merci bien les cazeurs ^^
Un grand merci Banjo pour cette série estivale très intéressante, teintée de passion et de nostalgie comme toujours mais avec un supplément d’intimité qui rend la formule vraiment sympathique. On en retient surtout la multiplicité des histoires et des façons de vivre le jeu vidéo (les consoles, les micros, l’arcade, la simulation, la télévision, internet) qui rend compte de la richesse de ce loisir et (ou) travail. Ce qui me fait dire: « On n’a pas le même maillot, mais on a la même passion! »